Utilisateur:Naturista2018/Académie nationale de l'histoire du Venezuela

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Académie nationale de l'histoire
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Palacio de las Academias dans Caracas, siège actuel de l'Académie nationale d'histoire.
Situation
Création 28 octobre 1888
Type Académie
Domaine Histoire du Venezuela
Siège Caracas, Venezuela
Langue es
Site web anhvenezuela.org
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L'Académie Nationale de l'Histoire du Venezuela est une institution qu'il se consacre à l'étude et promotion de l'Histoire du Venezuela. En concret se pose aussi bien qu'objectif le résumé de documentation bibliographique, hemerográfica, audiovisuelle ou d'un autre caractère que traite sur les faits politiques, économiques et sociaux arrivés dans le pays.

Histoire[modifier | modifier le code]

La création de l'académie a été décrétée par le expresidente Juan Pablo Rojas Paúl, le 28 octobre 1888. Sa mission exprime il est l'étude de l'histoire vénézuélienne et l'histoire américaine et mondiale que possède importance directe avec le procès national. il aussi s'occupe de la promotion de la recherche de l'enseignement de l'histoire, à la fois que se propose l'affermissement de l'identité vénézuélienne, tout moyennant des publications éditoriales, audiovisuelles et événements de divers caractère.

Son siège se trouve dans le Palais des Académies dans l'Accordée Université de Caracas, entre les coins de San Francisco et La Bourse. Dans ses installations il héberge sa Bibliothèque, que dans un principe a contenu les exemplaires bibliographiques, autres documents et sources audiovisuelles. Depuis 1889 les Individus de Nombre qu'ils ont fait partie de l'Académie ils ont fonctionné aussi aussi bien que les bibliotecarios/archivistes de l'institution. Avec le pas du temps, l'augmentation des ressources documentaires a augmenté de telle sorte qu'il s'a requis organiser des dites ressources en trois départements séparés: la Bibliothèque en soi, les Archives et la Hemeroteca de l'Académie. En 1952 il déplace son siège au Palais des Académies, dans celle qui ils aussi fonctionnent l'Académie Vénézuélienne de la Langue et l'Académie de Sciences Physiques, Mathématiques et Naturels. En 1961 il s'a décidé ouvrir ses trois dépendances pour consultation du public général.

Entre les plus soulignés «trésors» de l'institution figurent le Colombeia, l'étendu compendio des écrits et quotidiens de Francisco de Miranda, que contient information et des notes sur la Guerre d'Indépendance des États-Unis, la Révolution française et les débuts des guerres d'indépendance hispanoamericana.[1] Telles archives ont été déplacées à l'Académie entre 1929 et 1950, après d'y avoir été acquis par le Gouvernement vénézuélien. ils également sont les Archives de Simón Bolívar, composé par la correspondance, proclames, documents personnels et militaires, arrêtés et notes sur les sociétés latinoamericanas écrits par le Libertador. Ceux-ci sont gardés dans une annexe écarte de l'Académie que se trouve dans le Coin de Traposos, dans la même avenue. Les deux résumés ont été compris dedans du Programme Mémoire du Monde de la Unesco.

Le 5 juin 1940 s'a incorporé à l'Académie la première femme: Lucila Luciani de Pérez Díaz. Son discours a été inspiré en le generalísimo Francisco de Miranda, en exprimant l'égalité de la femme en des aspects social, culturel et officiel. Il a encaissé en occupant le Fauteuil "X", vacance par la mort du docteur Plácido Daniel Rodríguez Rivero. Le discours de bienvenue l'a répondu le docteur Juan José Mendoza.[2]

Individus de nombre[modifier | modifier le code]

À date de 2015, ils sont Académiques de Nombre, par ordre d'incorporation, depuis 1960:

  • Guillermo Morón (1926) (Incorporation: 1960, fauteuil «P»)
  • Joaquín Gabaldón Márquez (1906-1984) (Incorporation: 1960)
  • Caracciolo Parra Pérez (1888-1964) (Incorporation: 1960)
  • Angel Francisco Brice (1894-1969) (Incorporation: 1960)
  • Arturo Uslar Pietri (1906-2001) (Incorporation: 1960)
  • Mario Briceño Perozo (1917-1995) (Incorporation: 1961)
  • Edgar Sanabria (1911-1989) (Incorporation: 1963)
  • Virgile Tosta (1922-2012) (Incorporation: 1963)
  • Luis Beltrán Guerrero (1914-1997) (Incorporation: 1964)
  • Blas Bruni Celli (1925-2013) (Incorporation: 1965, fauteuil «K»)
  • Carlos Manuel Möller Mejías (1896-1966) (Incorporation: 1966)
  • José Antonio Calcaño (musicien) (1900-1978) (Incorporation: 1967)
  • Jerónimo Martínez Mendoza Álvarez (1902-1972) (Incorporation: 1967)
  • Tomás Pérez Tenreiro (Incorporation: 1969)
  • Ildefonso Leal (1932-2015) (Incorporation: 1971, fauteuil «Ou»)
  • José Humberto Quintero (1902-1984) (Incorporation: 1971)
  • Ramón José Velásquez (1916-2014) (Incorporation: 1971, fauteuil «T»)
  • Rafael Armando Rouges (1914-2007) (Incorporation: 1971)
  • José Luis Salcedo/Bastardo (1926-2005) (Incorporation: 1973)
  • Oscar Beaujón (1914-1990) (Incorporation: 1973)
  • José Carrillo Brun (1922-1975) (Incorporation: 1973)
  • Lucas Guillermo Château Lara (1921-2002) (Incorporation: 1977)
  • Nicolás Perazzo (1904-1987) (Incorporation: 1978)
  • Ermila Troconis De Veracoechea (1929) (Incorporation: 1978, fauteuil «Q»)
  • Santiago Gerardo Suárez (1930-1996) (Incorporation: 1979)
  • José Antonio d'Armes Chitty (1908-1995) (Incorporation: 1979)
  • Tomás Polanco Alcántara (1927-2002) (Incorporation: 1980)
  • Rafael Fernández Heres (1923-2010) (Incorporation: 1985, fauteuil «J»)
  • Manuel Pérez Vila (1922-1991) (Incorporation: 1986)
  • Carlos F. Duarte (Incorporation: 1986)
  • Mario Sanoja Obéissant (1934) (Incorporation: 1987, fauteuil «Ll»)
  • Carlos Federico Duarte Gaillard (1939) (Incorporation: 1987, fauteuil «I»)
  • Tomás Enrique Carrillo Bataille (1921) (Incorporation: 1989, fauteuil «V»)
  • Marianela Ponce Senior (1944) (Incorporation: 1990, fauteuil «Et»)
  • Ramón Adolfo Tovar López (1923) (Incorporation: 1991, fauteuil «H»)
  • Manuel Alfredo Rodríguez (1962) (Incorporation: 1992)
  • Pedro Grases (1909-2004) (Incorporation: 1992)
  • José Du Roi Fajardo (1934) (Incorporation: 1996, fauteuil «S»)
  • Manuel Rodríguez Campos (1930) (Incorporation: 1997, fauteuil «M»)
  • Elías Pin Iturrieta (1944) (Incorporation: 1997, fauteuil «N»)
  • Simón Alberto Consalvi (1927-2013) (Incorporation: 1997, fauteuil «C»)
  • José Rafael Lovera González (1939) (Incorporation: 1998, fauteuil «G»)
  • Santos Rodulfo Cortés (1924-2014) (Incorporation: 2002, fauteuil «Z»)
  • Pedro Cunill Grau (1935) (Incorporation: 2004, fauteuil «R»)
  • Germán Cardozo Galué (1940-2017) (Incorporation: 2005, fauteuil «D»)
  • Héctor Enrique Bencomo Quartiers (1924-2012) (Incorporation: 2005, fauteuil «Et»)
  • Manuel Antonio Cavalier Agüero (1931-2010) (Incorporation: 2005, fauteuil «F»)
  • Inés Mercedes Quintero Montiel (1955) (Incorporation: 2005, fauteuil «L»)
  • Germán Course Dames (1930) (Incorporation: 2007, fauteuil «X»)
  • María Elena González Deluca (1941) (Incorporation: 2010, fauteuil «Et»)
  • María Elena Place Palais (Incorporation: 2012)
  • Tomás Straka (Incorporation: 2015)

Membres #Correspondant[modifier | modifier le code]

  • Humberto Tejera (Membre #Correspondant en Mexique, Incorporation: 1966)[3]

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Archivo de la Academia — Página Web oficial.
  2. ↑ (es) « Lucila Luciani de Pérez, Primera mujer en la Academia Nacional de la Historia », sur venelib-antao.blogspot.mx, (consulté le )
  3. ↑ (es) « Boletín 210-211, », Archivo General de la Nación, Caracas, Venezuela,‎ , p. 71

Voyez-vous aussi[modifier | modifier le code]

  • Académie de Sciences Physiques, Mathématiques et Naturels
  • Académie Vénézuélienne de la Langue
  • Académie Nationale de Médecine
  • Académie de Sciences Politiques et Sociales

Tu raccordes externes[modifier | modifier le code]

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